Pick-contraste

Notre petit voyage familial en Italie au milieu de l'automne aura été l'occasion de pointer des contrastes...

Le premier est évident, c'est un contraste de température et de soleil. Rien de bien surprenant. A Rome, il fait beau et (un peu plus) chaud.

Le second est plus gênant. Il nous a fallu environ 1/2h pour découvrir une main dans une de nos poches. Les pick-pockets sont plutôt présents au Sud, hum ? Pas de conséquences fâcheuses à l'incident, mais un obligation de méfiance qui nous agace. On se méfiera tout de même de la douce insouciance qui règne à Stockholm. La police a fait savoir, il y a quelques temps, que l'aéroport principal n'était plus si sûr; quelques immigrés indélicats (d'Europe de l'Est) trouvant tout à fait charmant de profiter si aisément de la confiance qui règne ici...

Une autre différence qui choque la petite famille que nous sommes est l'absence de trottoirs dignes de ce nom dans bien des rues.

Enfin, il est quasi-impossible de payer en carte bleue. Il n'est presque pas nécessaire d'avoir du cash à Stockholm, car tout le monde ou presque accepte la carte bleue. A Rome, ce fut un peu plus compliqué, pour le moins.

Enfin, et c'est rigolo, la première langue qui nous vient à l'esprit pour parler reste le suédois. Mais il y a fort peu de mots en commun avec l'Italien. Ce fut donc un peu "sport", car je n'irais pas jusqu'à dire que tout le monde parle anglais dans la botte !